HRG publie son étude hôtelière 2017

Pour la TMC, il sera difficile de prédire l’évolution des tarifs hôteliers pour cette année en raison d’une grande incertitude.

Pour la 13e année consécutive, le classement des tarifs hôteliers de Hogg Robinson Group place Moscou en tête des villes les plus chères. Mais le reste du classement subit quelques chambardements, notamment en raison de la fluctuation des taux de changes et de leur impact sur les tarifs hôteliers.

Ainsi, trois villes sont particulièrement à surveiller: Cape Town, Edimbourg et Seattle. Toutes trois ont un inventaire hôtelier accru qui devrait débarquer cette année sur le marché. L’étude révèle également que 27 parmi les 50 villes les plus chères ont vu leur tarif moyen (en livre sterling) augmenter – en 2016, elles n’étaient que 21. Dans le même temps, 21 villes ont observé une baisse de ce même tarif. Pour 7 autres, il reste inchangé.

D’une manière générale, ce même tarif moyen a augmenté à la fin 2016. Au début de l’année, seules deux régions affichaient une progression: l’Europe et MEWA (Moyen-Orient et Asie occidentale). La fluctuation des taux de change a eu un sérieux impact sur les prix des chambres d’hôtels dans beaucoup des 50 villes constituant le classement. Margaret Bowler, Director Global Hotel Relations chez HRG commente: «Il est très difficile de savoir ce qui se passera avec les tarifs hôteliers en 2017. Seule certitude, cette année sera incertaine.»

L’entier de l’étude peut être consulté ici.