Alitalia Suisse dépend de Paris (Edition 2009-25)

Lorenzo Donato, Country Manager pour la France et la Suisse, devient le nouveau responsable.

La structure helvétique de la compagnie italienne prend forme. Le
bureau de Dübendorf va fermer officiellement le 30 juin prochain.
Cristiano Castelli, ancien Country Manager pour la Suisse, a quant à
lui quitté le pays le 1er juin pour prendre le poste de Sales Manager
en Belgique. Dans le même temps, Fabio Campitelli a été nommé
responsable pour la Suisse avec le titre de Sales Manager.

Dernier changement d’organisation, le bureau d’Alitalia Suisse,
actuellement à Genève, sera subordonné au bureau de Paris. «Nous
dépendons désormais de la direction pour la France et la Suisse,
dirigée par Lorenzo Donato, Country Manager pour les deux pays, indique
Fabio Campitelli. Pour le moment, tous les contacts utiles pour les
agences de voyages restent les mêmes.»

Le contact de l’Agency Support à Magdebourg (français et allemand) au
0848 848 019 reste donc en vigueur pour assister les agences. «Pour ma
part, je reprend les mêmes fonctions que Cristiano Castelli. Il ne faut
pas se fier au titre de Sales Manager qui représente dans la nouvelle
structure une équivalence à l’ancien de Country Manager.»

Pour Fabio Campitelli, la période la plus sombre est derrière. «Nos
partenaires et la clientèle démontrent déjà leur confiance et
coopération envers la nouvelle Alitalia. La régularité des opérations
est devenue une réalité. De plus, le renouvellement de la flotte avec
l’introduction chaque mois d’un nouvel appareil A320 nous permet
d’offrir un produit de qualité.»

Le réseau devrait poursuivre son (re)développement. «Nous sommes très
avancé dans l’étude de la réouverture d’une ligne Zurich–Rome, ainsi
que d’une ligne Genève–Milan. Sauf contretemps, toutes deux pourraient
intervenir au début de la saison d’hiver 2009/ 2010. D’une part, Zurich
dispose d’un énorme potentiel et d’autre part, nous possédons un lien
historique avec Genève. De plus, la clientèle institutionnelle y est
non négligeable.»
Cédric Diserens