Byzance Tours passe à une nouvelle étape (Edition 2009-11)

Huseyin Kus, directeur de Byzance Tours, ne cache pas qu’il est désormais débordé par l’ensemble de ses activités. «C’est pourquoi nous avons pensé qu’il était temps de passer à une nouvelle étape de notre développement», résume-t-il. Après un Master de Tourisme à Paris et un stage de fin d’étude chez Univair à Genève, Hélène May

Huseyin Kus, directeur de Byzance Tours, ne cache pas qu’il est
désormais débordé par l’ensemble de ses activités. «C’est pourquoi nous
avons pensé qu’il était temps de passer à une nouvelle étape de notre
développement», résume-t-il. Après un Master de Tourisme à Paris et un
stage de fin d’étude chez Univair à Genève, Hélène May a donc intégré
la petite équipe de Byzance Tours pour prendre en charge le département
Operating ainsi que le marketing du TO. «Je suis heureuse d’entrer dans
une entreprise à taille humaine, déclare-t-elle. Mes priorités
concernent à la fois l’enrichissement de notre brochure Turquie,
mais aussi la création d’une nouvelle brochure sur des destinations que
nous ne présentions jusqu’alors que sur Internet, à savoir le Mexique,
Costa Rica, Cuba et Canada.»

Le changement sera également visible au niveau du marketing et des
contacts avec les agences. «Il s’agit d’un vrai challenge. Nous allons
faire des offres et démarcher les agences de voyages et les fidéliser,
revenir en quelque sorte à notre corps de métier. Nous allons
d’ailleurs organiser très prochainement un voyage d’étude en Turquie.
Il s’agit encore de préparer les salons dans lesquels nous entendons
nous investir.»

Pour Huseyin Kus, l’arrivée d’Hélène May est vraiment un plus
incontestable. «J’ai toujours voulu mettre en avant la Turquie et pas
simplement la plage. Travailler le domaine plus culturel, faire
connaître des sites qui paraissent moins touristiques et qui sont
pourtant l’âme de mon pays, cela prend beaucoup de temps. Il était donc
très important d’avoir quelqu’un dans notre équipe pour reprendre la
part d’un travail essentiel mais que nous avons dû négliger, faute de
pouvoir y consacrer du temps.»    

AB