EasyJet a récemment confirmé louverture de quatre nouvelles destinations, dont GenèveBruxelles avec, dans un premier temps une liaison quotidienne et, dès le début septembre, deux liaisons quotidiennes. Cette annonce sest faite presque simultanément à la présentation de la nouvelle compagnie Brussels Airlines (voir TRAVEL INSIDE de la semaine précédente).
«On sy attendait dans la mesure où Bruxelles était une destination qui manquait à lappel chez EasyJet, confie Yolanda Sanz, Country Manager pour Brussels Airlines. Ceci dit, toute concurrence est saine.» Si sur le principe les deux compagnies vont saffronter sur le même terrain, à savoir le trafic Low Cost, Yolanda Sanz se veut très confiante. «Nous allons offrir un mélange du know-how dune compagnie Low Cost avec celui dune compagnie régulière. Cela se traduira par notre garantie du meilleur tarif, pour lequel nous lutterons sans cesse. De plus, nous allons avoir sept fréquences quotidiennes.»
Du côté dEasyJet, la sérénité règne également. «En général, notre arrivée sur une destination se traduit par 80% de nouvelle clientèle et 20% de cannibalisation. Il y a aujourdhui une situation de monopole sur Bruxelles. Dès que nous passerons à deux vols en septembre, nous aurons une offre permettant aux voyageurs daffaires davoir un aller-retour dans la même journée. Nous répondrons alors aux deux types de clientèles (loisirs et affaires).»