Les dossiers romands sont plus complexes (Edition 2008-40)

Catherine Gilliand s’occupait du marché romand chez Tourasia mais elle a pris un peu de distance pour s’occuper de sa petite fille née il y a quelques mois. Wolf Kennel a pris le relais et ne cache pas sa satisfaction, d’autant que plus de 50 agents de voyages ont participé aux workshops organisés récemment à

Catherine Gilliand s’occupait du marché romand chez Tourasia mais elle
a pris un peu de distance pour s’occuper de sa petite fille née il y a
quelques mois.

Wolf Kennel a pris le relais et ne cache pas sa satisfaction, d’autant
que plus de 50 agents de voyages ont participé aux workshops organisés
récemment à Genève et Lausanne.  «Surtout, je voudrais remercier
les agents de voyages romands pour leur travail à nos côtés,
s’empresse-t-il de souligner. Les résultats sont excellents, et nous
sommes heureux de constater que le développement touche l’ensemble des
destinations. C’est le fruit d’un très gros travail depuis plusieurs
années.»

Wolf Kennel travaille la Suisse romande en compagnie de Caroline Claret
et ils relèvent un certain nombre de différences si l’on compare avec
les agents de voyages alémaniques. «Il est certain que l’approche varie
et que notre travail doit s’adapter à ce qui n’est pas une contrainte
mais réellement une demande plus particulière. Les Romands veulent une
assistance beaucoup plus soutenue de notre part. Il faut davantage de
temps. Pourquoi? C’est finalement assez simple: en Suisse romande, il y
a beaucoup plus de dossiers à la carte. Les clients désirent souvent
des choses beaucoup plus personnalisés qu’en Suisse alémanique. C’est
donc plus complexe, mais c’est aussi notre force de pouvoir y répondre.
Nous nous réjouissons beaucoup de cette coopération.»
   

AB