Vendredi dernier, TRAVEL INSIDE (français) vous posait trois questions concernant les vacances d’automne et de fin d’année. Le rôle de la liste rouge de l’OFSP, actuellement au cœur d’âpres débats, est sans équivoque et les réponses montrent à quel point cet élément joue un rôle de frein.
Pour 70,9% des répondants au sondage, elle créée une incertitude qui empêche toute visibilité. Mais si elle peut d’une part freiner certains clients, elle engendre une surcharge de travail pour les agences qui doivent anticiper toute évolution éventuelle d’un pays d’un statut à l’autre afin de préparer un potentiel retour anticipé. Un peu plus d’un quart des répondants semble convaincu par la solution des tests au retour (26,7%) pour la remplacer. Seul 2,3% estime que c’est l’envie de voyager des clients qui fait défaut.
Vacances d’automne plutôt moroses
Sans réelle surprise, aucun participant n’indique avoir pu confirmer au-delà de la moitié des réservations enregistrées. 1,3% indique avoir pu confirmer environ la moitié. La «bonne» surprise est que 57,1% indique toutefois avoir pu confirmer des voyages, même si l’on parle de moins de 25% des réservations enregistrées. Une donnée qui montre que l’envie de voyager est belle et bien là. 41,6% des répondants indique n’avoir pu confirmer aucun voyage.
Entre mer et montagnes?
Concernant le type de séjour réservé pour cette fin d’année, le besoin de soleil et de mer domine avec 49,2% des répondants indiquant avoir des réservations pour des séjours balnéaires. Les voyages en Suisse arrivent juste derrière avec 47,6% des sondés. Une tendance qui s’observe auprès de nombreuses agences qui tentent de proposer des séjours dans le pays. Les séjours urbains (ou intervilles) et les séjours de bien-être sont à égalité et ne sont mentionnés que par 1,6% des répondants chacun.
(CD)
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