Par contre, il relève des prix journaliers en baisse. Pour lui, cela serait une des conséquences de ce que l’on appelle «l’effet Trump».
«Les réservations pour le Canada sont en légère baisse, probablement parce que les clients suisses ont parfois attendu très tard pour réserver. La haute saison était déjà complète à la mi-décembre 2017 pour l’été 2018, et les véhicules désirés n’étaient par conséquent plus disponibles.» Cet élément pourrait aussi être une des raisons pour lesquelles les chiffres des États-Unis n’ont pas reculé par rapport à 2017. En effet, le tour-opérateur constate qu’une destination comme Seattle serait réservée en alternative à Vancouver.
DU CÔTÉ DE L’EUROPE, les motor-homes progresssent. «C’est tout particulièrement le cas de la Norvège, une vraie destination tendance.» L’Afrique australe serait également en progression avec un pourcentage à deux chiffres. L’Australie se maintient au niveau de l’année dernière, tandis que la Nouvelle-Zélande affiche un très léger recul d’un pourcentage à un chiffre – en comparaison à une année 2017 qu’il qualifie de «très bonne».
CD