Le Royal Schiphol Group s’associe pour ce projet au cabinet de conseil néerlandais nlmtd, et à TNW, une société qui met en relation les entreprises, les gouvernements, les investisseurs et les start-ups pour favoriser l’innovation et accélérer la durabilité et la transformation numérique.
Jan Zekveld, responsable de l’innovation chez Royal Schiphol Group, a déclaré que l’aéroport devait innover pour réaliser son ambition de devenir l’aéroport le plus durable au monde, ajoutant qu’il était prévu que les opérations quotidiennes sur le tarmac de Schiphol auront changé de manière significative d’ici 2050.
«Les activités au sol telles que le transport des bagages, le transport des passagers et le remorquage des avions seront non seulement propres, mais aussi intelligentes et autonomes», souligne-t-il.
«Nous avons déjà pris les premières mesures dans ce domaine avec TNW et nlmtd. Ce printemps, nous allons procéder à un essai de bus autopilotés sur le tarmac de Schiphol. Nous pourrons ainsi déterminer quelles mesures de suivi seront nécessaires à l’avenir.»
De son côté, Arno Nijhof, directeur des programmes TNW, a déclaré que l’innovation est perçue par la plate-forme néerlandaise comme une solution en période difficile. Une attitude qui va à contre-courant de la tendance actuelle. «Nous sommes impatients de trouver des solutions sur le marché qui permettent le transport autonome ou rendent le travail plus léger pour les employés, et de collaborer avec des innovateurs externes pour améliorer la qualité de l’air.»
L’objectif est d’aider Schiphol à devenir une organisation plus durable et tournée vers l’avenir. Le mois dernier, Schiphol a annoncé un nouveau partenariat avec l’entreprise technologique Pangiam, afin d’étudier comment l’intelligence artificielle pourrait être utilisée pour accélérer le processus de contrôle de sécurité des bagages.
(TI)
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