Il dirige Europcar Suisse depuis 25 ans: Carlos Sardinha peut se féliciter du fait que l’entreprise est toujours là. Numéro un en Suisse en termes de véhicules (5500) et de stations (près de 90), l’entreprise génère près de 50% de son chiffre d’affaires aux aéroports.
Il reste cependant du potentiel et le conseil à la vente peut y contribuer. «Si le client veut par exemple réserver une voiture de location à Olbia en haute saison, il peut avoir un problème. De nos jours, les loueurs ne peuvent tout simplement pas fonctionner à 60% de leur capacité. Pour nous, c’est généralement plus de 80%. Par conséquent, c’est une valeur ajoutée pour le client lorsque ce besoin est pris en considération par l’agent de voyages lors de la consultation.»
Il relève qu’Internet est désormais le principal canal de réservation. «Ce qui était de la négociation tarifaire auparavant est aujourd’hui appelé Pricing. Disponibilité et concurrence font que les prix sont constamment réajustés.» Pour lui, l’avenir est encore difficile à estimer. «Je pense qu’il y aura une fusion de plusieurs produits.» Les systèmes existants seront affûtés. Mais tout ne peut pas être automatisé. En Suisse, nous proposons aujourd’hui 126 catégories différentes de véhicules.
CD
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