Sondage TI: la pandémie a-t-elle tué le «micro-touroperating»? Last call!

De nombreuses agences romandes ont longtemps été actives dans ce domaine afin d’obtenir de meilleures marges.

Avant la pandémie, nombreuses étaient les agences de voyages indépendantes actives dans le «micro-touroperating», particulièrement en Suisse romande où la structure du marché diffère sensiblement de la Suisse alémanique.

Ces agences réservaient des prestations séparément (vol, l’hébergement, autres), s’adressant directement à certains fournisseurs, dont des DMC. Les conditions plus avantageuses au premier abord permettaient d’obtenir de meilleures marges en dépit du risque lié à la mise en place de tels forfaits – l’agence devient alors tour-opérateur!

La pandémie et la masse de travail administratif qu’elle a entraînée ont-elles sonné le glas du micro-touroperating? Le fait que les tour-opérateurs classiques aient assoupli leurs conditions et que les clients exigent une sécurité et une flexibilité absolues a-t-il contraint les agences indépendantes à renoncer aux risques financiers encourus si le prestataire de services activé n’est pas fiable?

Merci de consacrer quelques minutes au sondage totalement anonyme de TRAVEL INSIDE.

(DS)

Etiez-vous actifs dans le «micro-touroperating» avant la pandémie?

En cas de réponse positive, quelle part de votre volume représentait le «micro-touroperating»?

Pour quelles raisons étiez-vous actifs dans le «micro-touroperating»?

Etes-vous encore actifs dans le «micro-touroperating» ou ne réservez-vous désormais qu'auprès des TOs?