Claude Luterbacher, directeur de Trans-Continental, exprime son étonnement: «Nous avons une structure en place qui traite les divers problèmes que nos membres peuvent rencontrer. Si toutefois cela ne devait pas suffire, il est toujours possible de mettre en place rapidement tout autre groupe de travail nécessaire. De plus, nous sommes trois directeurs romands de PME au sein du comité. Si lon exclut les problèmes de contrats commerciaux qui ne sont pas du ressort dune organisation faîtière comme la FSAV, que pourrions-nous faire de plus que ce qui est déjà fait ? Défendre le professionnalisme de lagent de voyages? Cest déjà fait au moyen de la publicité commune, pour laquelle nous avons tout de même investi un million de francs.»
Esther Schawalder fait un constat similaire: «Nous avons des groupes de travail déjà actifs pour régler divers problèmes. Bien sûr, le travail dans une association napparaît pas toujours gratifiant. Cest un travail de fond.» Claude Luterbacher ajoute: «Nous entendons souvent des reproches ou des critiques, mais au final, le problème vient dun manque de communication. Une grande partie des problèmes ne sont pas transmis à la FSAV. Bien évidemment, la réponse ne sera pas immédiate, mais si il y a lieu dagir, le nécessaire se fait.» Esther Schawalder souligne enfin: «Je ne vois pas sur quel sujet ce groupe pourrait bien se pencher, ni qui pourrait bien y sièger. Jai présidé le groupe de travail Retailers il y a quelques années et jai constaté un désintéressement des participants dès la 2e ou 3e réunion.»
CD