FSAV: une structure qui a déjà fait ses preuves (Edition 2007-08)

Claude Luterbacher, directeur de Trans-Continental, exprime son étonnement: «Nous avons une structure en place qui traite les divers problèmes que nos membres peuvent rencontrer. Si toutefois cela ne devait pas suffire, il est toujours possible de mettre en place rapidement tout autre groupe de travail nécessaire. De plus, nous sommes trois directeurs romands de PME

Claude Luterbacher, directeur de Trans-Continental, exprime son étonnement: «Nous avons une structure en place qui traite les divers problèmes que nos membres peuvent rencontrer. Si toutefois cela ne devait pas suffire, il est toujours possible de mettre en place rapidement tout autre groupe de travail nécessaire. De plus, nous sommes trois directeurs romands de PME au sein du comité. Si l’on exclut les problèmes de contrats commerciaux qui ne sont pas du ressort d’une organisation faîtière comme la FSAV, que pourrions-nous faire de plus que ce qui est déjà fait ? Défendre le professionnalisme de l’agent de voyages? C’est déjà fait au moyen de la publicité commune, pour laquelle nous avons tout de même investi un million de francs.»

Esther Schawalder fait un constat similaire: «Nous avons des groupes de travail déjà actifs pour régler divers problèmes. Bien sûr, le travail dans une association n’apparaît pas toujours gratifiant. C’est un travail de fond.» Claude Luterbacher ajoute: «Nous entendons souvent des reproches ou des critiques, mais au final, le problème vient d’un manque de communication. Une grande partie des problèmes ne sont pas transmis à la FSAV. Bien évidemment, la réponse ne sera pas immédiate, mais si il y a lieu d’agir, le nécessaire se fait.» Esther Schawalder souligne enfin: «Je ne vois pas sur quel sujet ce groupe pourrait bien se pencher, ni qui pourrait bien y sièger. J’ai présidé le groupe de travail Retailers il y a quelques années et j’ai constaté un désintéressement des participants dès la 2e ou 3e réunion.» 

 CD