Selon les passagers interrogés, les raisons principales de surf à bord sont d’abord la «peur de manquer» sur Facebook. 28% des passagers se sont connectés à un réseau social après cinq minutes de vol seulement. Un passager sur cinq se dit «ennuyé» s’il ne peut pas se connecter à un réseau social durant un vol – 3% vont jusqu’à dire que cela «gâcherait» le vol. Vient ensuite le besoin de se vanter de ses vacances, une pratique très prisées des Américains (40%) et des Britanniques (20%).
En termes de rapidité à se connecter, les Allemands sont les plus enclins à se connecter, suivis des Suédois et des Danois. La disponibilité du Wi-Fi reste une surprise pour les Britanniques, les Espagnols et les Américains. Ceux-ci prennent davantage de temps à se connecter. Les sites les plus consultés par les Britanniques sont les sites d’information (BBC, Guardian, Daily Mail), suivis par Right Move (site immobilier) et Amazon.
Une personne sur dix admet saisir l’occasion d’un vol pour faire une pause des réseaux sociaux. La moitié des 18-25 ans publient des selfies sur Instagram ou des photos de l’aile de l’avion. Le tag #flyNorwegian a déjà été utilisé plus de 12’900 fois sur Instagram. Les plus grands consommateurs de réseaux sociaux en vol sont cependant les Espagnols avec 62%, suivis des Norvégiens (56%) et des Danois (55%).
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