Depuis sa création, le Fonds de garantie réunit deux professionnels romands au sein de son Conseil de fondation. Ce dernier désigne son propre bureau, nomme un président, deux vice-présidents et d’autres responsables selon les besoins. Parmi les deux vice-présidents, le Valaisan Jacques Lathion, qui se retirera à la fin de l’année.
CETTE NOUVELLE ANNONCÉE, plusieurs professionnels n’ont pas manqué de s’interroger sur le mode de fonctionnement propre au Conseil de fondation. Pourquoi l’élection d’un nouveau membre demeure-t-elle interne? Pourquoi les participants au Fonds de garantie ne sont-ils pas appelés à se prononcer lorsqu’il s’agit de remplacer un membre du Conseil de fondation? Le rapide sondage mené auprès des cinq Groupements romands (voir dernière édition) a clairement démontré qu’une double représentativité francophone est plus que souhaitable, même si aucun statut ne la garantit.
LE SUJET A SANS DOUTE été abordé il y a deux jours à Lausanne lors de la réunion présidents cantonaux qui précède traditionnellement la cérémonie de remise des diplômes aux nouveaux apprentis (ndlr: hors délai rédactionnel). On peut toutefois affirmer qu’un ou plusieurs candidats à la succession de Jacques Lathion sont sur les rangs.
Interrogé à ce sujet par TRAVEL INSIDE, André Dosé, président du Conseil de fondation, le confirme: «Il y a des candidats. Nous communiquerons volontiers une élection lorsqu’il aura été procédé au choix. Pendant la phase préparatoire, chacun demeure libre de faire ses propres spéculations», lance André Dosé.
(DS)
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