Swiss affine la navette Genève–Zurich–Genève (Edition 2007-16)

Swiss a poursuivi sur sa lancée durant le premier trimestre 2007 où son coefficient d’occupation a augmenté de 2,5 points de pourcentage, pour atteindre 76,9% sur l’ensemble du réseau. Sur l’intercontinental, le taux atteint 81,9% (2006: 80,6%) alors que l’Europe connaît une augmentation encore plus nette, à 66,2%. De janvier à mars, Swiss a transporté

Swiss a poursuivi sur sa lancée durant le premier trimestre 2007 où son coefficient d’occupation a augmenté de 2,5 points de pourcentage, pour atteindre 76,9% sur l’ensemble du réseau.
Sur l’intercontinental, le taux atteint 81,9% (2006: 80,6%) alors que l’Europe connaît une augmentation encore plus nette, à 66,2%. De janvier à mars, Swiss a transporté 2,649 millions de passagers, chiffre en hausse de 19,4% par rapport à la même période de l’année passée.

Au niveau suisse, les résultats des deux aéroports secondaires ne bénéficiant pas du statut de hub sont également réjouissants: le renforcement de l’offre à l’EuroAirport de Bâle-Mulhouse (dix destinations et des liaisons matin et soir destinées à la clientèle d’affaires) a généré un important volume de trafic, le taux moyen d’occupation de Swiss à Bâle s’inscrivant à 69%. Sur Barcelone, Budapest et Varsovie, le remplissage a même dépassé les objectifs de la compagnie.

Quant au marché genevois, il se porte aussi très bien: depuis l’année passée, Swiss ne perd plus d’argent à Genève et enregistre une augmentation constante de trafic.

Contrainte d’étendre sa stratégie aux trois hubs (Zurich, Francfort, Munich) du duo Swiss-Lufthansa, la compagnie affine cet été la navette Genève–Zurich–Genève: dans les deux sens, tous les vols sont opérés par des appareils de la famille Airbus A320 à l’exception du premier vol Genève–Zurich de la journée (LX 2801, à 06h00) et du dernier retour Zurich–Genève (LX 2818, à 22h35) qui sont effectués en Jumbolino. «Nous avons introduit une nouvelle liaison Genève–Zurich à 18h55 afin d’alimenter la vague du soir à Zurich», ajoute Ivan Haralambof, directeur de Swiss en Suisse romande.                               

DS